samedi 2 janvier 2021

Olivier Kachler, Poétiques de l’inconnaissable

Olivier Kachler, Poétiques de l’inconnaissable. Essai sur les symbolismes en France et en Russie (Paris, Classiques Garnier), Europe n° 1101-1102, janvier-février 2021, p. 387-389.


https://ver.hypotheses.org/3607

jeudi 17 décembre 2020

Patrick Pion et Nathan Schlanger (dir.), Apprendre. Archéologie de la transmission des savoirs

« Patrick Pion et Nathan Schlanger (dir.), Apprendre. Archéologie de la transmission des savoirs », Lectures [En ligne], Les comptes rendus, mis en ligne le 16 décembre 2020. URL : http://journals.openedition.org/lectures/46022 ; DOI : https://doi.org/10.4000/lectures.46022

lundi 19 octobre 2020

Alexis Pelletier, Le Présent du présent suivi de Il faut que tu me suives

Alexis Pelletier, Le Présent du présent suivi de Il faut que tu me suives, Tarabuste, 2020 sur le site Poézibao mis en ligne le 19 octobre 2020 : https://poezibao.typepad.com/poezibao/2020/10/note-de-lecture-alexis-pelletier-le-présent-du-présent-précédé-de-il-faut-que-tu-me-suives-par-serge.html

mercredi 14 octobre 2020

François Laplantine, Penser l’intime

« François Laplantine, Penser l’intime », Lectures [En ligne], Les comptes rendus, mis en ligne le 13 octobre 2020. URL : http://journals.openedition.org/lectures/44742 ; DOI : https://doi.org/10.4000/lectures.44742

vendredi 25 septembre 2020

Revue Nu(e) n° 72 (« Serge Ritman »)

 Revue Nu(e) n° 72 (« Serge Ritman ») sous la direction de Yann Miralles 

avec les contributions de :

Dybeck Blampain, Ghérasim Luca, Henri Meschonnic, Bernard Vargaftig, Ben-Ami Koller, Antoine Émaz, Charles Pennequin, Jacques Ancet, Philippe Païni, Marlena Braester, Laurent Moourey, Sylvie Durbec, James Sacré, Alain Helissen, Alexis Pelletier, Gérard Dessons, jean-Luc parant, Guy Perrocheau, Marina Krylyschin, Jean-Yves Debreuille, Françoise Delorme, Philippe Berthaut, Liliana Orlowska, Pascal Lefranc, Charlotte Guennoc, Shungo Morita, Olivier Mouginot, Eduardo Uribe, Emmanuel Fraisse, Frédérique Cosnier, Arnaud le Vac, Bernard Noël, Laurence Maurel, 

mis en ligne le 25 septembre 2020 

(https://poezibao.typepad.com/poezibao/2020/09/revue-nue-n-72-serge-ritman.html)

422 pages.



lundi 8 juin 2020

Yann Miralles, Hui

Yann Miralles, Hui (Éditions Unes, 2020), Europe n° 1094-1095-1096, juin-juillet-août 2020, p. 328-329.


On peut lire la recension ici : https://martinritman.blogspot.com/2020/06/yann-miralles-hui.html

vendredi 8 mai 2020

Laurent Mourey, Cet oubli maintenant

 Laurent Mourey, Cet oubli maintenant (Éditions du cygne, 2019), Europe n° 1093, mai 2020, p. 282-283.

On peut lire la recension ici : https://ver.hypotheses.org/3614


samedi 25 janvier 2020

Rythmes amoureux Corps, langage, poème

 

Serge Martin, Rythmes amoureux, Corps, langage, poème, Otrante, 2020.
14 x 21 cm / 411 pages
janvier 2020 / isbn 979-10-97279-09-7
30 €


samedi 18 janvier 2020

Milner et Mallarmé

Serge Martin, « Jean-Claude Milner, Profils perdus de Stéphane Mallarmé. Court traité de lecture 2 », Lectures [En ligne], Les comptes rendus, 2020, mis en ligne le 17 janvier 2020. URL : http://journals.openedition.org/lectures/40320


mercredi 8 janvier 2020

Laurine Rousselet, Ruine balance

Laurine Rousselet, Ruine balance (Isabelle Sauvage, 2019), Europe n° 1089-1090, janvier-février 2020, p. 332-333.


Laurine Rousselet

ruine balance, Plounéour-Ménez, éd. Isabelle Sauvage, 2019.

 

L’écriture de Laurine Rousselet peut se dire infinitive. Aussi, considérer tel de ses livres, c’est les reprendre tous et surtout ne pas séparer ce ruine balance du précédent nuit témoin publié chez la même éditrice en 2016 où apparaissait ce néologisme en italiques : « la peau désire crire » (p. 16). Formule qui ramasse toute l’écriture de L. Rousselet, ne serait-ce qu’avec cet infinitif ou crier et écrire inventent un sujet du poème comme une force dans le langage et, faut-il le préciser puisqu’on ne peut les séparer, dans la vie. L’infinitif est matriciel dans cette poésie – je relis très vite nuit témoin : « travailler inlassablement à la nudité » (p. 50) écrit-elle dans nuit témoin. Matrice d’une utopie au présent du crire où la poétique est d’abord éthique au quotidien : « ne pas plier  / suivre le cours de la nuit témoin » (p. 61) parce que « la chambre » du poème devient, comme chez Tsvetaieva, une expérience de résonance libre où il s’agit d’« échapper à la solution / à la marche / à la phrase / sans demander de comptes » (p. 67). L’éthique de cette « chambre », de ce poème, invente les moyens d’« attendre ensemble / pour nous crire de solitude » (p. 76) ; et, au premier plan de ses moyens, c’est la prosodie : « écrasé de possible / le désir se noie / dans l’écho de sa soif » (p. 77) où l’enchaînement prosodique refait toute la sémantique comme dans un réseau serré ici la noyade désirante fait « l’écho » d’une immense soif… véritable « succion de l’écoute » (p. 93), le poème est au travail incessant en vue de « graver le mouvement continuel du crire » (p. 113), « mouvement » qui emporte l’histoire individuelle-collective et même le cosmos : « le soleil ne ralentit pas / seule sortir de la beauté pour l’entraîner / vers la nuit témoin » (ibid.) et « le paysage en train de crire » (p. 118). Tout est embarqué par le poème, par son sujet qui rend tout sujet, qui infinit tout, parce qu’il s’agit bien de « répondre au vacarme par le noir » (p. 119) et « auprès de tous » (ibid.). 

Le livre qui suit ou plutôt continue la force-sujet de nuit témoin, élargit encore un peu plus ce « répondre » : « ruine balance répond à l’échappée » (p. 99). Il suffirait de comparer les formats des deux livres ! Mais c’est d’abord le continu du crire à l’infinitif : « défaillir [] / envelopper tout ça d’un trait / le long des bruits du crire » (incipit, p. 9). Un continu qui organise comme un journal de vie, « avec Elias Amalia », les enfants auxquels était dédié nuit témoin, du cœur du poème avec plein de corps-langage, pas seulement parce que le corps fait thématique (« se retrouver le pied posé au bord de la mer » et « les draps défaits sur le dos du monde », p. 9) dès la première page puis tout du long, mais surtout parce que, encore une fois, c’est le maximum de corps dans le langage et donc c’est la prosodie qui guide – je me contente d’un exemple, et il faudrait toute la page, tout le livre, où le consonantisme en /R/ et en /P/ tient ensemble les motifs constellés de « l’épreuve du crire » (p. 26) dans le continu d’un dire tenu : « désir sans encombre le sexe imprime / les lèvres appuient la parole assise / couvrir le noir brasser la fièvre / sans délai jouir tranche avec la peur » (p. 25). Un autre plus court : « l’absorption du désir / la chaleur du désordre » (p. 90)… 

Ce qui certainement augmente le force du crire dans ruine balance ce sont les métaphores appositions dont Meschonnic avait montré combien chez Hugo elles permettaient le passage de la rhétorique, l’écriture des autres, au poème, l’écriture d’une valeur, « une syntaxe, une sémantique, une histoire, l’une par l’autre » (Écrire Hugo 1, 1977, p. 269). Et je pourrais paraphraser Meschonnic pour dire que chez L. Rousselet, plus l’écrire s’érotise (à propos de Chatiments, c’était « se politise » mais ici aussi !), plus il se poétise ! Je reprends donc à partir du titre, ruine balance en citant, exemple parmi beaucoup, telle métaphore apposition : « brusquement dévaler loin / mains   sexe   langue / cramponnés à la course » (p. 27), laquelle est relancée page suivante : « nerfs   champ   contraction   vitesse / la présence accroche anxiété » (p. 28). Oui, l’apposition augmente la vitesse du dire (« crire frappe par rafales », p. 31, avec une référence à Tsvetaieva) et même incorpore l’emportement des corps comme la prosodie augmente le continu du tout du langage et de tout le langage, des petites aux grandes unités avec ce rythme d’un « vagabonder dans crire » (p. 32). C’est bien pourquoi le titre à la fois initie et ramasse par l’apposition cette érotique-politique du langage qui fait « l’instance du crire » jusque « dans l’autre langue » (p. 29), ici surtout l’espagnol jusqu’à la dernière page qui presque parle espagnol, catalan et portugais : « carnet mémentos y bolis » (p. 112)… Mais l’apposition devient une syntaxe générale de la vitesse faite poème : « remplir présent [] pour balayer secrets » (p. 37) ; de la métaphore qui étend tous les champs sémantiques : « le noir écoute / le cœur en retour qui profonde / le dégagement après dévastation » (p. 91). 

(Ne pas) conclure, au bord de combien de relectures en n’oubliant pas combien « la gaieté surprend ruine balance » (p. 90) et combien « l’égarement éclaire les années » (p. 90), c’est-à-dire combien le ressouvenir en avant, au sens de Kierkegaard, qu’organise tout le livre opère une jubilation grave, une invention du « vivrant » (p. 92), pour surtout laisser s’infinir le poème de Laurine Rousselet avec « ruine balance grandit poitrine / aspirer tout    renversement » (p. 87). 

Oui, « écouter profonder pulser / ruine balance parcourt l’immensité du mour » (p. 101) ! A chacune et chacun de répondre un tel crire où, pour sûr, « la voix advient » (p. 102) avec « sur les lèvres A galopar d’Alberti » (p. 105) ! 

Irène Gayraud, Chant orphiques européens

 Irène Gayraud, Chant orphiques européens. Valéry, Rilke, Trakl, Apollinaire, Campana et Goll (Classiques Garnier, 2019), Europe n° 1089-1090, janvier-février 2020, p. 350-354.


On peut lire la recension ici : https://ver.hypotheses.org/3611

dimanche 10 novembre 2019

Lecture publique avec Tu pars, je vacille

https://soundcloud.com/serge-martin-767275917/tu-pars-je-vacille-lecture-publique-a-lajoux-3-decembre-2016

Avec Ghérasim Luca (1913–1994), extension du domaine des apatrides

Martin, S., 2019. « Avec Ghérasim Luca (1913–1994), extension du domaine des apatrides ».  Modern Languages Open, (1), p.15. DOI: http://doi.org/10.3828/mlo.v0i0.223

L'Impératif de la voix : entretien avec Philippe Païni

Entretien avec Philippe Païni autour du livre L’Impératif de la voix, sur le site Poézibao, 4 novembre 2019 : https://poezibao.typepad.com/poezibao/2019/11/entretien-serge-martin-avec-philippe-païni-autour-du-livre-limpératif-de-la-voix.html?utm_source=feedburner&utm_medium=feed&utm_campaign=Feed%3A+typepad%2FKEpI+%28Poezibao%29

Faire littérature

Recension de Delphine Abrecht, Romain Bionda, Sophie-Valentine Borloz, François Demont, Charlotte Dufour, Samuel Estier, Jacob Lachat, Colin Pahlisch, Émilien Sermier, Mathilde ZbaerenFaire littérature. Usages et pratiques du littéraire (XIXe-XXIe siècles), Lausanne, Archipel Essais, 2019. En ligne : https://journals.openedition.org/lectures/38135

vendredi 8 novembre 2019

Anne Herbauts, Je ne suis pas oiseau

 Anne Herbauts, Je ne suis pas oiseau (Esperluète éditions, 2018), Europe n° 1087-1088, novembre-décembre 2019, p. 337.


Anne Herbauts, Je ne suis pas oiseau, Esperluète éditions, 2019, 80 p., 22 euros. 

 

Ce livre est un album par son format (19x27) et la présence forte d’images qui inventent, dans un rythme puissant d’une double page à l’autre, une diction qu’on peut appeler un poème du vivre aujourd’hui, c’est-à-dire une relation de voix que la reprise, ce ressouvenir en avant, construit pour nous emporter avec ceux et celles auxquel.les semblent être dénié le vivre.

Reprenons par le début. Le livre est une reprise et variation qu’offre le motif de l’oiseau en pochoir se remplissant d’une pluralité de références culturelles ; disons des reproductions d’œuvres picturales ou autres qu’on pourrait certainement déchiffrer comme ces signes cunéiformes qui font traces de pattes d’oiseau… Mais l’album ne demande pas déchiffrement autrement qu’à se laisser porter par son mouvement d’envol, son rythme de comptine (« je ne suis pas un oiseau ») qui refuse puis ouvre au ciel d’abord avec une série de planches animées par des reprises du motif de la lisière maritime où vagues, débris de plage et chute s’emmêlent, puis avec une autre série, celle de l’arbre, qui nous fait osciller, comme la pluie, la série suivante, entre des hauteurs et des profondeurs, des cimes et des fouilles, jusqu’à ce qu’une page livre voix vers ceux « qui sont en route sans savoir où aller ». Alors, nous voilà défaits, dépourvus, désossés de toute contenance, de toute assurance, de toute connivence même avec les oiseaux. Cet album fait le chant d’un déchant – je n’ai pas écrit désenchantement ! En effet, il est une invitation à se tenir avec ceux qui n’ont même pas la condition des oiseaux (et l’on sait combien celle-ci est aujourd’hui en péril puisque des espèces nombreuses disparaissent) pour au moins épouser leur chute « sur une espérance inimaginable ». 

Un tel album ouvre à l’expérience d’un principe espérance (Ernst Bloch) plus par sa lecture abandonnée au rythme que par son interprétation compréhensive, plus par le non-savoir que par la maîtrise, plus par la perte des repères (le jeu de cadrage) que par la stabilité des signes (aucun décodage n’est ici possible). Un tel album fait le risque de tout poème : essayer dire l’indicible, l’inaudible, l’inconcevable – un peu comme le chanteur Idir en épigraphe : « J’ai froid, mon pays, j’ai froid ». Ici peut-être, le « je ne suis pas un oiseau » de toutes celles et de tous ceux qui veulent aller ailleurs et qu’on empêche de passer, mais aussi de tout un chacun qui rêve d’un vivre ailleurs ici-bas. Un tel album, comme la moindre chanson qui dure sans qu’on sache pourquoi, maintient l’utopie de vivre. 

Alice Massénat, Le Squelette exhaustif

Alice Massénat, Le Squelette exhaustif (Les Hauts fonds, 2018), Europe n° 1087-1088, novembre-décembre 2019, p. 334-335.


Alice Massénat, Le Squelette exhaustif, illustrations de Guillaume Guintrand, préface de Jacques Josse, éd. Les hauts Fonds, 2019, 104 p. 

 

Certes, si l’on considère le surréalisme sous l’angle de l’histoire littéraire ou des procédés et autres manœuvres pour occuper le culturel, le surréalisme est mort et enterré ! Mais dès qu’on lit Alice Massénat, voilà que son spectre surgit ou plutôt voilà que les fantômes d’une énergie qu’on croyait étiquetée au Musée Grévin des horreurs littéraires ne cessent de hanter la lecture. C’est que l’écriture d’Alice Massénat « marche sur le fil du rasoir » (Josse) pour non pas nous refaire le surréalisme, mais pour que la vie, sa vie qui s’y risque, ne fasse plus semblant dès que l’écriture la relance, la remette à survoir, à surréaliser et que « le grand saut » advienne dès « demain », ce « jeudi si intemporel ». La voix qui toujours au bord d’un cri tenu, « le corps bouffé d’heurs », jusque dans ses silences mêmes, sait quelle violence il faut endurer sur ce chemin d’écrire-vivre : « à dire vrai je n’étais qu’une vulgaire écharde / qu’on recouvre d’un drap de suif / et parmi ces échancrures / le tu s’éloigne à outrecuidance ». Mais l’adresse (« donnez-moi ce secret », « dites-moi je vous en supplie ») est incessante, « quand d’aucuns se taisent la bouche en cul-de-poule », et la demande d’écoute : « Je m’en vais / au plus loin de la mer / et de ces joints aux insidieuses outrances / pleurer, sans même un qui-vive ». De grands intercesseurs accompagnent (Bellmer, entre autres) dans ce mouvement qui demande d’étendre la haine des « curateurs de l’esprit » au « clergé » qui « siège », jusqu’à soi-même parce que « l’étrange est là / et je m’y assois ». Mais il faut aussitôt préciser combien c’est l’écriture haletante (« fuirai à toutes jambes », « je cours, je défaille ») et d’une précision redoutable (« je vandaliserai mes yeux et mes carquois ») parce qu’il s’agit de ne jamais céder pour « piaffer ces trémolos du sépulcre » : « et je serrerai enfin le seuil de formol / en suicide annoncé » et « le gouffre traqué / s’en vient invariablement ». La syntaxe, le lexique, les rythmes tonitruent de concert à contre « cantiques d’affabulateurs ». Le surréalisme d’Alice Massénat est une critique sans ménagement de tout poétisme (« éructer et recracher où bon me semble ») comme de toute bienveillance, comme si le discours socialisé (psychiatrique, policier, etc.) et celui des « scribouillards de bonne mine / aux déblatérations sans quelque fronce / que le cri n’émeut même pas », pouvaient écouter autrement « sa voix cadenassée par des aplombs de fortune ». Cette critique emporte alors, comme chez Ghérasim Luca, un « Je » : « Et comme un os de sursis / je t’exhume de tous nos palans / à qui de droit nos mains je te hèle / je t’exècre/ et je t’exclame ». C’est alors une danse (macabre et vive) pour « Foutre le camp d’un monde qui se tait / qui nous exècre et qui se pâme / au bon vouloir du qu’en-savoir ». Le ton de la voix est alors prophétique (« Tanguer et charrier le verbe d’outrecuidance pour tuer les rêves la peur et le désespoir »), quitte à « crever la première », « Matraquée / Spoliée / inerte ». Aussi, le lecteur est-il mis au défi de « Prendre au sérieux tout l’aval d’une scansion bringuebalée », non pour trouver quelque motif raisonnable à la source d’un tel rythme, mais bien plutôt pour se voir inoculé tout le trouble de la voix du poème d’Alice Massénat, qui agrandit encore plus cette formule de Max Ernst : « L’identité sera convulsive ou ne sera pas ».

                                                           Serge Martin

 

mercredi 19 juin 2019

Les poètes libres, ça tarabuste

« Les poètes libres, ça tarabuste… alors on colloque » dans S. Martin, D. Meskache, T. Levy, Tarabuste, une fabrique des poètes libres, Saint-Benoît-du-Sault, 2019, p. 73-79. (Actes du colloque éponyme à l’Université Sorbonne nouvelle Paris 3, mars 2018)



Tarabuste, une fabrique de la poésie libre


(dir. avec Djamel Meskache et Tatiana Levy), Tarabuste, une fabrique de la poésie libre, Saint-Benoît-du-Sault, coll. « Nouveaux points de vue », Tarabuste, 2019, 180 p. (Actes du colloque éponyme, Sorbonne nouvelle Paris 3, mars 2018)

Cet ouvrage traduit l'esprit du colloque éponyme proposé par Serge Martin à l'Université Sorbonne Nouvelle Paris 3 en mars 2018.
Avec des contributions de : Tatiana Levy, Didier Cahen, Françoise Clédat, Michel Collot, Pascal Commère, Jeanne gatard, Gilbert Lascault, Camille Loivier, Serge Martin, Shungo Morita, Alexis Pelletier, Yves Peyré, Philippe Païni, Antonio Rodriguez, James Sacré, Sandrine Bédouret-Larraburu, Guy Perrocheau et Dominique Grandmont.



Jean Sénac, Œuvres poétiques

« Jean Sénac, Œuvres poétiques, Actes Sud, 2019 », Triagesn° 31, juin 2019, p. 182-184.