Quelques moments photographiques après ce poème-circonstance du lendemain envoyé par Guy Perrocheau :
à chaque pas mon
premier pas
de passe-muraille
et la bouche fait bonne mesure
à un édifice élevé sur de l’air
fait bonne mesure
à une énigme
à un carrefour
à du noir aussi
qui respirait la
peur
comme au travers d’un
nom qu’on se met sur
la langue alors
c’est toute la vie qui se fond en
phrasé comme un trou qui s’effondre en
lui-même avant les
fondations
(comme un ressouvenir en avant d’une lecture de « Tu pars, je vacille », le 11 mars 2015, à Paris, par son auteur)
Toutes les photographies sont de Victorine Seltz sauf la première prise par Charlène Clonts : merci !
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